J'ai dû être maigre pour obtenir mon comptant de légèreté et avoir la résistance de l'acier.
Je dois être grasse pour expérimenter la féminité, le moelleux et la grâce.
Elle se questionne sur le fait de savoir s'il faut avoir confiance ou non en un sens transcendant.* Si c'est un leurre, elle va traverser sa vie comme une anesthésiée. [qui a-t-il de pire que le doute?]
Alors, de fait (?): elle s'efforce de trouver un sens à chacun des tournants, des strates, des crises et des révélations. Pourtant, elle ne fait que le trouver (pas le donner), elle le livre aux circonstance (mais elle le cherche quand même). C'est dire qu'elle l'attribue à...**.
Finalement la différence n'est pas dans le fait que les évènements aient un sens ou non, mais dans le fait qu'elle ait de l'emprise (du pouvoir) sur eux ou non.
* Auquel cas on ne peut et doit qu'accompagner notre existence de nos prises de décision. Les évènements se passent anyways, le sens est là anyways, ça s'en va à quequ' part. Mais on ne le voit pas: soit on n'utilise que 10% de notre cerveau/intuition et l'espèce humaine est encore un bébé, soit "gods kill us for the sport!" (il y a quand même l"hypothèse d'une transcendance (les 90%non utilisés) dans la première hypothèse). D'où l'essentielle confiance. Attention tout ça a l'air trivial mais ça l'est pas, le flou est là: entre l'intuition et la confiance. "Je le sens, c'est tout. Ca s'autojustifie."= déresponsabilisation. Confiance en soi = confiance en autre chose (en un sens transcendant)? Sinon on ne peut que douter de soi à l'infini, si de nous dépend TOUT!
**Il y a à la fois un chaos producteur d'accidents/évènements --les circonstances-- et une Intention derrière. Double fondement (tension) à creuser. Etrange, quelle que soit l'hypothèse il faut qu'il y ait un sens. La construction dans le pur présent, dans le pur fur-et-à-mesure est impossible à penser.