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Citations

  • paz

    Les choses ne sont pas à leur place,

    elles n'ont pas de place

    elles ne bougent pas

    elles bougent

    des ailes leur poussent

    des racines, des griffes, des dents

    elles ont des yeux, des ongles, des ongles,

    elles sont réelles, elles sont fantasmes, elles ont un corps

    elles sont ici

    elles sont intouchables.

  • walt

    "As soon as Walt knew a thing, he assumed a One Identity with it. If he knew that an Eskimo sat in a kayak, immediately there was Walt being little and yellow and greasy, sitting in a kayak".

     

    "Oh, beautiful generalisation and abstraction!

    Oh beautiful biological fonction".

  • Born Into Trouble As The Sparks Fly Upward

    http://youtube.com/watch?v=agNTE8yt8YE


    Sisters and brothers,
    We have surely lost our way.
    In strip malls full of cancer,
    And a pathetic rain.
    And lover, sweet lover
    Please don't discipline your hands.
    Just kiss me in the morning,
    In your dirtiest pants.

    We will find our way.

    We will find our way.

    There is beauty in this land,
    But i don't often see it.
    There is beauty in this land,
    But i don't often feel it.

    Pimples are flowers,
    Musicians are cowards!
    Let's argue in the kitchen,
    For hours and hours.
    Tomorrow is a travesty,
    Tomorrow should be ours.
    Musicians are cowards!
    [The Triumph Of Our Tired Eyes Lyrics on http://www.lyricsmania.com]
    Musicians are cowards!
    Musicians are cowards!
    Musicians are cowards!
    Musicians are cowards!
    Musicians are cowards!
    Musicians are cowards!
    Musicians are cowards!

    The soldiers with their specialists
    And the pigs with their guns cannot stop,
    The lost ones and the desparate ones and the driven ones.

    The soldiers with their cigarettes
    And the pigs with their guns cannot stop,
    The lonesome ones and the desparate ones and the smart ones.

    So come on friends,
    To the barricades again.

    So come on friends,
    To the barricades again.

    So come on friends,
    To the barricades again.

    So come on friends,
    To the barricades again.

    We will find our way,
    We will find our way.

    "When we finally cross the barricades
    With the angels on our side
    When we finally deny all the populary loss
    When we finally let doubt and worry die
    How will it feel?"



    Artist: A Silver Mt. Zion
    Album: Born Into Trouble As The Sparks Fly Upward
    Year: 2001
    Title: The Triumph Of Our Tired Eyes

  • patti

    http://www.youtube.com/watch?v=iPVMYDrbrCo

  • poème

    mon ex DG m'envoi cette perle du poete catalan Arnau Pons Roig

    n'entends-tu pas crisser
    les cordes?
    et le bois peu a peu?

    quelqu'un dans ta poitrine
    bouge
    et tourne sur lui-meme,

    si lentement
    qu'il crisse
    et crisse ainsi
    toute la nuit;

    une petarade, une tension, encore
    tu peux le sentir;

    il te faudra la mort si
    tu veux couper
    la corde.

    "c'est beau, non?" dit-il

    Oui!

  • fuel

    http://www.youtube.com/watch?v=opGlJrME01g

  • nicotine?


    podcast

  • Petra von kant

    On pourrait penser (et apparemment les gens pensent ça voire que ça) qu'il s'agit d'un film moral, genre devinez qui est la plus manipulatrice entre la riche intelligente perverse contre la pauvre fille banale et ahah ce n'est pas celle qu'on croit. Classique.

    Donc à part ça: est-ce que c'est seulement un film sur l'universalité du désir (l'absolue légitimité dans toutes ses formes mêmes les plus perverties) ? Moui, Marlene s'en va sur la tune "ouh yeah, I am the great pretender..." aussitôt que son désir, jusqu'ici maintenu en tension par son caractère inassouvissable, prend une tournure réalisable. Elle n'a plus de raison de rester, son essence de "pretender" a disparu, dès que Petra dit "And you, tell me about yourself..." marlene flee away alors qu'elle a supporté la pire condition jusque là. La tension du désir sous toutes ses formes monstrueuses, quoi. Comme finalité, comme mode de vie. En même temps que le problème de Petra c’est juste que son désir n’est jamais comblé...mais il n’est pas comblable (alors que celui de Marlene si, il suffit de cette simple phrase et regard). Alors...on peut dire que c’est sa manière d’être ? Ok, on parle de désir. Mais quelle est la chute, la sortie ?

    Je ne comprends pas ce qu’est Petra pour Fassbinder, il dit qu'il veut encourager les gens à exprimer leur douleur -dans l'optique d'un soulagement sans doute-, mais elle, qui le fait tout le long et tellement bien, n'y trouve aucun rachat, aucun soulagement. Pourtant elle l'exprime sans cesse, la douleur passée sous forme de récapitulation assimilée en leçon de vie, et la douleur présente en agonisant devant le téléphone. Mais il n'y a pas de sortie. La fin est d'ailleurs un retour au debut ( le même "tell me about yourself" avec le même regard) qui laisse peu d'espoir. Ce qui est troublant c'est que dans cette histoire...C'EST PETRA QUI A RAISON. Et pourtant elle perd.
    Pourquoi a-t-elle raison ?

    Elle est la plus antipathique parce qu'elle est la seule qui ne joue pas de jeu.
    Elle a effectivement l'attitude nécessairement désinvolte (et qui parait puante) de celle qui ne veut plus jouer le jeu (on ne peut le comprendre qu'à la fin, le jeu avec l'antipathie du spectateur est ultra réussi, ON NE PEUT PAS L'AIMER TANT QU'ON NE LA COMPREND PAS). A la fin on n’aime qu’elle.

    Donc ce qui explique Petra: It's easy to pity, Sidonie, but so much harder to understand. If you understand someone, don't pity them, change them. Only pity what you cant understand

    I think people need each other, they're made that way. But they haven't learnt how to live together

  • le vendeur d'eau de M.

    " Ca c'est drôle en te lisant je m'aperçois que j'ai lu ce tableau d'une manière tout à fait contraire au bon sens. J'ai tellement été happé par la monumentalité du personnage du premier plan que je n'ai pas imaginé une seconde qu'il pût s'agir du vendeur d'eau. C'était donc le fiston du tavernier qui apportait l'eau au vieux brigand ou chevalier errant, débarquant avec sa troupe, un des compagnons buvant de l'eau derrière. La commisération de l'enfant regardant le manteau déchiré ne m'est point apparue. Tout se dessine dans le jeu entre la transparence du verre, la fraicheur de la grande jarre et la cruche bizarrement cabossée, la fraîcheur du jeune garçon et la figure burinée en terre cuite du vieil homme. Et ce qui apparaît mystérieux c'est la rencontre de ces deux âges : de toute évidence il se passe qqchse, le garçon semble éprouver qqchse qu'il ne peut pas tout à fait déterminer. Il ya qqchse de péguy que j'ai lu récemment et qui s'applique bien:

    " Vous, péguy, vous n'avez connu que le vieillard. Vous n'avez point connu le vieux. (...) Vous avez connu la chevelure d'argent, la tête olympienne ; Zeus lui-même ; et la face exactement rasée. Vous avez connu la face de la médaille. Mais vous n'avez pas connu le vieux. (...) Tout ce que les paysans de votre pays, péguy, mettent dans ce mot, un vieux, tout ce qu'il y entendent, tout ce qu'ils y mettent de noueux, de raciné, de ayant résisté, de ayant poussé, de ayant vieilli, de ayant tenu le coup, de ayant passé par n'importe quoi, victorieusement, et pour ainsi dire de ne devant jamais finir, c'est tout cela qu'il faut mettre dans le mot et dire du vieil Hugo : C'était un vieux."

    Le vieux qui a l'air de sortir d'un désert cherche peut être à se désaltérer, et on (et il) ne peut pas ne pas penser à l'innocence et à la fraîcheur correspondante du petit garçon. Il me semblait que le petit se trouve subitement devant le temps, le vieillissement, et c'est ce qui le trouble, mais le fascine en même temps. Quant au vieux, la façon dont il surplombe la scène lui donne l'air de la porter en lui, de l'avoir davantage intériorisée, plus que le gamin qui incline la tête, comme effrayé de ce qu'il entrevoit...
    Ce que tu me dis du tableau me serre le ventre parce qu'effectivement vue comme ça (et comme elle a été voulue par l'artiste je suppose) la scène est très gênante et même pathétique. Mais ce qui est curieux c'est que cette interprétation même si elle me paraît maintenant évidemment la bonne ne détruit pas du tout le premier regard que j'ai eu sur elle. C'est étrange qu'il n'y ait pas d'obstacle pour moi -malgré l'intention évidente de l'artiste- à cet autre regard, alors que la commisération et la fascination, la gêne et la majesté, ce n'est pourtant pas la même chose"

  • F.

    Ses yeux sont comme des chandelles qu'on voit couler dans les bobèches des chandeliers de fer. (TQJ)

    "Y a rien qui vaille trois dollars quand on peut pas l'emporter avec soi" déclara Virgile. (S)

  • hold you up

    Tung tung tungtulungung tutung tung tung tungtulung tung tulung tung tung...
    (folk picking sexy...hhhh....)
    .............................
    (Souffle dans l’oreille)
    whatever you want
    ..........................
    Whatever you want
    hhhhhhhhhhhhhhhh
    Whatever you want
    ..........................
    I’ll give it to you
    ........................
    ya whatever you want
    I’ll give it to you slowly
    I’ll give it to you slowly ‘till you’re just begging me to hold you


    Your mouth waters
    stretched out on my bed
    your fingers are trembling
    and your heart is heavy and red
    and your head is bent back
    and your back is arched
    my hand is under there
    holding you up

    (tout est dans le ton...)
    I’ll hold you up
    and drive you all night
    I’ll hold you up
    and drive you baby ‘till you feel the daylight
    I’ll hold you up
    and drive you all night
    I’ll hold you up
    and drive you ‘till you feel the daylight


    In the kitchen (ouh yeah)
    in the shower
    and in the back seat of my car
    I’ll hold you up
    in your office
    preferably during business hours
    ‘cause you know how I like it when there’s a lots of people around
    and I know how you like it
    yeah I know how you like it
    I know how you like it when I.....
    .........tungtungtungtung....
    ... tease you for hours.....

    Your mouth waters
    stretched out on my bed
    your fingers are trembling
    and your heart is heavy and red
    and your head is bent back
    and your back is arched
    and my hand is under there
    holding you up

    I’ll hold you up
    and drive you all night
    I’ll hold you up
    and drive you baby ‘till you feel the daylight
    I’ll hold you up
    and drive you all night
    I’ll hold you up
    and drive you ‘till you feel the daylight
    oh and this has just begun
    Yeah this has just begun
    .......tungtulung tung tung tung.....

    because we haven’t even gotten started yet
    Cuz I haven’t even,I haven’t.....
    I haven’t even......
    ...... tied you up......
    hhhhhhhhhhhhhhh
    I haven’t even....
    I haven’t even.....
    I haven’t even.... turned you over

    That’s forbidden....

    I’ll hold you up
    and drive you all night
    I’ll hold you up
    and drive you baby ‘till you feel the daylight
    I’ll hold you up
    and drive you all night
    I’ll hold you up
    and drive you baby ‘’till you feel the daylight
    that’s right
    yeah
    this is where I want to live
    right here between your hips
    where all the love you hold and hide
    it’s where it lives
    right here between your hips
    this is where I want to live
    it’s where all the love you give exists

    Your mouth waters
    stretched out on my bed
    your fingers are trembling
    and your heart is heavy and red
    your head is bent back
    your back is arched
    my hand is under there
    holding you up

    Etc à l’infini...

  • You're nothing but walking grace

    You're nothing but walking grace