Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

le fonds commun

Pour les Sciences politiques:
Comme la question de la communication (et à plus forte raison celle du politique) est une question de la réalité réelle, tant que la question de la réalité vécue n'est pas résolue elle ne peut être ni résolue ni posée. C'est sans appel. Dans l'ordre du vécu, elle se pose nécéssairement comme la question de la possibilité d'une jonction entre les réalités vécues. On voit difficilement comment c'est possible.
Y-a-t-il un socle commun d'expériences vécues? Y a-t-il, en deçà des conventions qui font la réalité réelle, une communion, une possibilité de co-mmunication de fond de nos vies-vécues?
N'importe qui dirait oui, sinon d'où sortiraient ces conventions? Mais évidemment qu'il y a une similarité dans nos usages. Mais nos expériences vécues sont très loin de se limiter à des usages (je veux dire que la manière dont je vois/visualise/sens/me représente ma chambre à coucher est très loin du simple usage (coucher) que j'y fais). On s'en fout, de la réalité réelle commune des usages. Y a-t-il un fondement plus profond, un monde commun plus profond? Non, c'est pas ça. En fait le problème apparait si l'on veut établir une morale légitime (j'aurais dû commencer pas là), des règles de conduites qui soient fondées. Si l'on veut pouvoir juger, décider des actions des uns et des autres. Il faut pouvoir com-prendre, pour celà. Comprendre la réalité vécu de quelqu'un, est-ce que ça peut être autre chose que la vivre? Il le faut. Oui, i ly a des intuitions, de fait. pfff.
Je ne sais plus ce que je voulais dire, mais je le sens en tout cas, la géante énigme, l'urgente question.


"Les mythes, ce sont des mots irresponsables, des mots du possible. De ceux qu'on emploie quand on ne peut plus raison garder".

C'est ce qui arrive...

Les commentaires sont fermés.