Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lenteur

lentement ce soir,

et à portée de danse, on a marché, scandant le même rythme, la même langueur dans le poids de nos corps,

on a perdu la clef et, prises de panique, on en a appelé au mauvais génie,

pour se sentir touchées par la grâces quelques instants, sensibles, plus tard

le temps de la réunification des eves dure 3 semaines. le rythme qui lui permet de tout tenir ensemble celui de longues nuits, de tâches infiniement étirées. on aimerait que la paix dure, mais dure... on entrevoit le ciel parfois, ce qu'il y a derrière lui

on prends toujours des comprimés.

il m'aurait fallu un mois de plus, que la fameuse et convoitée couche de neige se dépose et unifie le relief. dormir, envoûtée, ne surtout pas travailler.

***

très cher klingelstaïne, vous savez, j'avais lu la pitié dangereuse cet été (pour faire référence à autre chose que m aymé), et ça m'avait plombé. on en reparlera, c'est un livre qui m'a révolté et indigné (évidemment). je n'ai eu rien de l'empathie que tu n'as pas manqué d'avoir (j'en suis sûre!) pour le personnage. pure complaisance, ark!

vous avez raison je ne vais pas fort fort, ou plutôt j'ai été fort mal. les choses se tassent. tu me manques. je pars vivre au canada dans 1 semaine, j'ai tout largué ici (je te l'avais dit).

reposte des vidéos... ça me fait tellement envie!

 

 

Les commentaires sont fermés.