Dans la chaleur torride je tente de ramasser les morceaux et tout ici est saturé de connotations que j’espérais perdues (je mens) mais qui n’étaient qu’enfouies. La collision des mondes est toujours violente. Le refus de ma mère me donne juste envie de repartir en exil. Tout semble fêlé et difficilement résistant à l’étau des radicales parenthèses de la vie de famille qui réduit à néant tout le chemin, tout l’être. Vie de famille pas mal réduite à néant au demeurant.
Suffit-il de rebondir encore…
Et encore !
On peut faire ça !
Des obsèques, énième fin de la vie de famille, mercredi. Elle m'a attendu, celle-là, au moins!