J'oublie, sur la cathedrale de Strasbourg, que l'interieur a une allure folle, la grande horloge astronomique, la rosace tres haute et gigantesque, l'abside profonde et sans retable de telle maniere qu'on a l'impression d'un espace à occuper et pas seulement d'une scene, occupé à parler, se concerter, penser, sous la trés haute voute.
L'Eglise protestante St-Pierre-le-Jeune, aussi, egalement de grés rose erodé et doux, de peintures et de frises vives etonnemment bien conservées, là où on a écouté l'orgue peint, posé sur une arcade en avant du choeur. Une merveille (l'orgue, aps le concert...)
(les accents zarbis sont dus au clavier allemand)