Bonjour, je naviguais comme ça sur la toile lorsque je suis tombé dans votre site mademoiselle (tu parles d'une idée, laissé des trous béants comme ça, on ne peut plus se promener tranquille sans tomber quelque part!). Bien que je ne comprenasses pas vraiment comment un tel monde virtuel soit humainement possible, je tenais quand même à vous signifier mon amitier la plus profonde, même en ce lieu profond de l'écriture automatique, car, il faut bien le dire.

J'avais écrit ici un petit truc sur le fait de votre non-guayté, mais je l'ai effacé pour ne pas vous choquer mademoiselle. J'ai parcouru trop brièvement votre site pour pouvoir en résumer le contenu, et puis, de toute façon, je suis rendu un déficiant de l'écriture vous savez.

Y'a de la poésie ces temps-ci, sur Montréal, et des performances au Patro Vys...

Y'a un cours gartuit de swing (charleston) ce soir si ça te dit. Bon, je vais aller me fair mouiller, là.

Ciao
v!ncent
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Je réclame le petit truc sur ma non-gayeté.
Il parait que l'autre soir dans un bar de Québec je me suis exprimée de manière tout à fait synthétique et convaincante. Oli m'a même cru.
Oli, t'en souviens-tu de mon argumentaire en béton? (je ne suis pas gay)
Et V. j'ai cru une seconde que que tu voulais dire que j'étais quelqu'un de sinistre... mais l'idée m'a parue tellement saugrenue (surtout au regard du contenu merveilleusement joyeux de ce machin) que je l'ai évacuée aussitôt...