Ce choix, cet immense choix de lieu de vie (la Sorbonne ou ici), je n'arrive pas à le faire selon des raisons personnelles, c'est comme si tous mes désirs s'étaient évanouis devant un seul grand désir (celui qui n'a pas de fin) qui devient facteur unique; d'où le problème qu'il soit facteur tabou. Les choix de vies ne se font que sous ce genre d'influence de toute façon, malheur à celui qui est la seule balance. Mais concrètement c'est la merde, il s'agit quand même d'un supide alternative entre 8h d'auto ou 8h d'avion de Balt. Je sais que je suis tombée bien bas, mais tout fonctionne encore, hein, chez moi, mais c'est comme si il y avait un rideau presque transparent qui me séparait de mes raisons réelles, de ma raison tout court.